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Tour et détour en Hautes Pyrénées (2011)
A la découverte des Hautes Pyrénées (2011)
Le Taillon 3144 m
- L'amuse "bouche" -
Tony Anderson - Extrait : Finding your heart
Entre HRP, GR 10, GR 11 & Chemin de Saint-Jacques…
Randonnée itinérante de 6 jours
- L'entrée, le plat et le dessert ! -
Hourquette d'Ossoue - 2734 m - en toile de fonds le Vignemale 3298 m
Le Taillon, par le Cirque de Gavarnie et ses fameuses « échelles » - Échelles de Sarradets - ; ce n'est pas certes le chemin le plus court, mais c'est une belle "balade" tout de même ! Deux jours seront nécessaire pour cette version, que l'on peut qualifier de « très sportive ». Le dénivelé n'est pas négligeable, 1200 m pour la première journée, et près de 1800 m négatif rien que pour la 2ème jour ! Mais ces efforts en valent la peine.
Itinéraire à éviter en présence de neige et de météo incertaine. Partir tôt et bien se renseigner sur la météo. : le mot "échelle" ne signifie en aucun cas que vous allez trouver des "échelles" de celles que l'on trouve dans une Via Ferrrate, mais des marches naturelles, et plusieurs escarpements rocheux restés à l'état brut, non taillé et non aménagé. Certain topo classe cette itinéraire dans de la catégorie "Alpinisme". Plus d'infos et de détails sur le très beau (& bon) site : Les Topos Pyrénées par Mariano
Pour accéder au refuge, à pied depuis Gavarnie, il y a moyen de passer par le joli Vallon des Tourettes (Pouey Aspé), ou pour faire encore plus court, mais c'est moins "fun" par le col des Tentes...
Trop de texte ? Ce n'est pas un souci... il y a un "topo-carte" en toute fin "d'article" ⇓ !
La Brèche de Roland 2807 m
La Cascade depuis le Vallon de Pouey-Aspé
La sente qui mène au Taillon...
J2 : 555 m d+ /1800 m d-/ 7 h : Le Taillon... par la Brèche de Rolland, et retour par le vallon de Pouey-Aspé. Cotation difficulté : T3 puis T2 Partir tôt et bien se renseigner sur la météo.
La vue sur la Brèche de Roland est saisissante depuis le refuge. Peu de neige cette été dans le secteur (toutefois en présence de neige des crampons sont nécessaires ; bien se renseigner auprès de l'OT de Gavarnie ou du gardien du refuge). Depuis le refuge nous empruntons une sente bien marquée et assez raide. La montée est soutenue. On franchit un premier ressaut, on quitte un instant la pierraille qui nous a accompagné jusque là pour aborder la faible pente du glacier nous suivons la trace bien marquée au sol -au sortir de celui-ci- la Brèche - impressionnante - est là, juste au dessus, il faut fournir encore quelques efforts... On quitte le glacier, pour accéder à la Brèche par une escalade facile. Une main puis deux... ! Extra... Une fois passée, c'est l'Espagne, et la vallée d'Ordesa ; un paysage quasi lunaire s'ouvre à nos yeux...
La Brèche de Roland marque la limite entre les Parc National des Pyrénées (France) et le Parc National d'Ordesa et du Mont Perdu (Espagne). Ses "mensurations" : 40 m de large et 100 m de haut !
Nous poursuivons maintenant vers le Taillon. Nous, sommes un peu trop descendu au sortir de la Brèche, il nous a fallu aux prises de quelques acrobaties dans les éboulis remonter vers celui-ci ; nous n'avions pas vu que celui-ci longeait les murailles de la Pointe Bazillac, car trop occupés à "piaffer" et à regarder au loin. Pourtant le tracé était évident . Arrivée au Doigt de la Fausse Brèche (curiosité géologique assez remarquable, soit dit en passant) que nous contournons par la droite pour poursuivre ensuite sur un sentier en lacet jusqu'au sommets.
Le Taillon, enfin ! Une vue magnifique : l'Espagne d'un côté, la France de l'autre...
Le retour se fait par le même chemin, attention toutefois, arrivée au Doigt de la Fausse Brèche, il faut impérativement contourner celle-ci par la gauche (ne surtout pas emprunter la sente qui fille à droite et qui débouche sur une pente relativement raide et dangereuse). Bien rester attentif ! Une fois la Brèche atteinte, descendre vers le refuge, attention à la descente, la pente est assez raide, les bâtons sont utiles pour prévenir tous risques de chute ; bien rester vigilant car la pierraille a tendance à zipper sous la "godasse" !
Le Refuge... une pause rapide, il nous reste encore beaucoup de chemin à faire pour rentrer à Gavarnie. Une dernière difficulté à franchir celle de la fameuse cascade (qui heureusement est équipée d'une chaîne...). Nous poursuivons, il y a foule, ceci est certainement dû au fait que le col des Tentes n'est pas très loin, rendant ainsi un accès "rapide" au refuge et à la Brèche.
Nous voilà devant "LA" cascade, il y a un petit bouchon. Celle-ci est "infranchissable, il y a beaucoup trop d'eau, il faut donc la contourner, pas simple avec tout ce monde. Il faut rester vigilent, l'endroit est rendu "glissant" à cause de l'eau qui ruisselle de toute part. Nous poursuivons non pas par l'itinéraire classique, c'est à dire celle qui mène au Port de Boucharo 2270 m et au parking, mais par une sente qui se situe juste après la cascade à main droite et qui plonge "directement" vers la Vallon de Pouey-Aspé. On récupère plus bas le sentier principal : celui qui dans un sens monte au *Port Boucharo et dans l'autre descend à Gavarnie ( portion dépourvue de balisage)
C'est fourbu que nous arrivons à Gavarnie... après ce chouette intermède ! Maintenant, nous pouvons nous concentrer sur la suite...
1 : Le sentier sous les Murailles du Pic Bazillac 2 : Le Casque du Marboré (3006m) en toile de fond
3 : Doigt de la Fausse Brèche 2944 m.Difficulté selon l'échelle du CAS : T3 / Randonnée en montagne exigeante (cf. référence du CAS) Sentier pas forcément visible partout. Les passages exposés peuvent être équipés de cordes ou de chaînes. Éventuellement appui des mains nécessaire pour l'équilibre. Quelques passages exposés avec risques de chute, pierriers, pentes mêlées de rochers sans trace, névés faciles . Exigences : Avoir le pied très sûr. Bonnes chaussures de trekking. Capacités d'orientation dans la moyenne. Expérience élémentaire de la montagne souhaitable.
Attention cet itinéraire est destiné aux personnes ayant une bonne expérience de la montagne : dénivelé conséquent, terrain difficile, orientation... capacité technique et endurance sont nécessaires !
Tout l'équipement nécessaire à l'itinérance en refuge et éventuellement, selon la saison et les conditions sur le terrain du matériel complémentaire technique de progression et de sécurité.
Entre HRP, GR 10, GR 11 et Chemin de Saint-Jacques…
Randonnée itinérante de 6 jours
Boucle de 6 jours en Haute Pyrénées. Sur ce parcours il est possible de faire un sommet par jour, selon la forme et l’envie… et de bivouaquer. L’option choisi ici fut les refuges. Les conditions estivales de cet été 2012 était particulièrement clémente, certaines journées étaient chaude voir très chaude même en altitude ; pas ou peu de présence de névés, rendant ainsi la progression plus aisée sur certains passages (bien se renseigner avant de partir sur les conditions météo, sur la présence de neige car l’usage de piolet/crampons et d’un brin de corde peuvent être utile).
J2 : De Baysselance au refuge de Wallon ou Marcadau. Grande et belle étape, près de 7 h de marche, 3 cols, et un sommet à gravir ! Il faudra compter pour cette longue et belle étape près de 1400 m de dénivelé positif – si l’option Petit Vignemale est retenue -
Direction le col d’Hourquette d’Ossoue 2734 m en empruntant le GR10, du col, le sentier monte en crête dans le pierrier (direction Sud, puis Sud-Ouest) jusqu'à atteindre le sommet du Petit Vignemale (sommet facilement accessible sans équipement particulier quand celui-ci est évidemment dépourvu de neige). Une quarantaine de minutes plus tard la cime et ses 3032 m sont atteint. Pour la descente on empruntera le même itinéraire jusqu'à Hourquette d'Ossoue*, puis on poursuit sur le même chemin que la veille vers le refuge des Houlettes.
*Hourquette, siginifie : col, brèche
Crampons et piolet peuvent-être nécessaires après le col de la Hourquette d’Ossoue pour atteindre le sommet si des névés persistent
Petit Vignemale 3032 m Col d’Hourquette d’Ossoue 2734 m
Col des Mulets - Vallon du Rio Ara (Espagne)
Col d’Arratile (2528 m)
Des Houlettes direction le Col des Mulets (2591 m) ; le sentier est assez raide, il monte en lacets dans du pierrier mal commode, à l'approche du col des Mulets, la pente s'adoucit. Du col on peut apercevoir le troisième et dernier col du jour, le Col d’Arratile 2528 m. On bascule alors dans vallon du Rio Ara (Espagne), on rejoint par quelque lacets courts et raides le sentier horizontal qui mène au Col d’Arratile ; on entame alors une longue traversée (environ 2 km) à travers un paysage austère dans un grand et beau cirque d’éboulis brun de la Haute Vallée du Rio Ara. Le col d'Aratille atteint on commence alors une longue descente dans le vallon du même nom pour rejoindre le Vallon de Marcadau. Après avoir passé le dernier lac celui du Grand Lac d’Aratille 2247 m, rempart de la vallée d'Arratille, ou suit le gave d’Aratille, sur un bon sentier, de lacets en replats on poursuit ainsi jusqu’à la forêt clairsemée, on franchit une première passerelle (qui enjambe le gave d’Aratille) ; guère après on passe une seconde passerelle (qui elle franchit le gave de Marcadau) pour rejoindre le Vallon de Marcadau et de là le refuge Wallon.
Les passages du col d'Arratille et du col des Mulets restent délicats en présence de névés ; piolet et crampons peuvent être nécessaire.
Vallon d'Arratile - Vallon de Marcadau
Refuge Wallon (1865 m)
Plusieurs alternatives sont possibles
♦ L'option qui passe par le massif des Pics de l’Enfer (quand nous sommes passés dans le secteur, cette variante n'était pas possible car le dit refuge, n’existait pas encore. Si vous bivouaquer, pas de souci) : Refuge Bayssellance → Refuge de Bachimana (pour tout savoir sur ce nouveau refuge : Refuge Ibones de Bachimaña), par le Col des Mulets (ou Puerto de Cauterets), puis le Rio Ara (secteur très aride, quasi lunaire) poursuite ensuite vers le Collado del Letrero puis le Refuge. Le lendemain : Refuge de Bachimana → Refuge Laribet : en empruntant le GR 11 : les Ibones Azules, les Collados del Infierno et de Tebarray, l’Ibon de Llena Cantal, le refugio de Respomuso, on quitte le GR 11 pour rejoindre lacs d’Arriel tout d’abord puis l'Embalse del Arriel Alto pour terminer par le Port du Lavedan : l'étape est de fait plus longue. Difficulté technique celle du Port du Lévaudan, passage en III.
♦ L'option qui évite le Port du Lévaudan, il suffit pour cela de passer par le Port de la Peyre St-Martin, et de rejoindre par le Col de Cambalès (Δ!) le refuge Wallon Marcadau. Le passage du Port de le Peyre Saint Martin ne présente pas de difficulté particulière, on est ici sur le fameux Chemin de Saint Jacques de Compostelle ! Du Port de la Peyre Saint Martin jusqu'après le Col de Cambalès on entre dans un tout autre domaine, nous sommes ici sur la HRP : "Quelques passages exposés avec risques de chute, pierriers, pentes mêlées de rochers sans trace, névés faciles. Exigences : Avoir le pied très sûr. Niveau : T3".
J3 : du refuge Wallon 1865 m au refuge Respomuso par le col de la Fache 2664 m. Ce col délimite la frontière avec l'Espagne. Au delà, s'engage la descente vers le lac et le refuge de Respomuso. Une étape plus courte que les précédentes, permettant ainsi de faire une longue pause au lac de Resposumo. Sur cette étape, il est possible de faire l’ascension de la Grande Fache 3005 m. Le départ de celui-ci se fait au niveau du col du même nom [n'ayant pas choisi cette option, je ne puis la décrire]. Cette journée comporte des portions hors sentier et non balisées.
Du refuge prendre la direction du col de la Fache, des panneaux – assez rares, mais ils ont le mérite d’exister, alors autant en profiter ! – indiquent la direction à suivre. La montée vers le col se fait sur un bon et beau sentier. Pour le rejoindre il faut tout d’abord franchir deux passerelles… et se laisser guider par un sentier assez évident. La montée au col est assez longue, on franchi un premier ressaut, les Lacs de la Fache, pour atteindre ensuite un pierrier, quelques cairns et une sente. Le col est assez bien visible. Arrivée au col on plonge versant espagnol, en suivant une sente qui descend franchement sur un sentier mal commode, parfois glissant. Il faut rester attentif. Les lacs de la Fache (versant espagnol) sont visibles d’en haut et offre un très beau panorama . Le sentier est assez raide et fait de petits cailloux. Un névé persistant sur le sentier surplombe le lac – attention, ce névé étant à l’ombre, il est peut être gelé la traversée de celui-ci requiert de l’attention (le lac est juste en contrebas, à une dizaine de mètres environ). Il est cependant possible de le contourner en descendant franchement sur la droite à travers le pierrier pour rejoindre le lac et être contourné par le bas, le tracé est assez évident. Prendre ensuite une sente bien visible pour récupérer le sentier principal, et poursuivre ainsi jusqu’à Compoplano pour retrouver un bon sentier et un poteau indiquant le Collado de la Peira San Martin (Col de la Peyre Saint Martin, voie du Levadan du Chemin de Saint Jacques de Compostelle, 2295 m) d’un côté et de l’autre l’objectif du jour le Refuge Respomuso. Il suffit alors de suivre le sentier bien marqué et de poursuivre jusque là.
Le refuge de Respomuso offre un confort inhabituel en montagne : douche chaude, casiers fermant à clef, comble de tout il y a même de la bière à la pression, on repassera par contre côté repas !
IIbon de Campoplano - Embalse de Respomuso Campoplano - Refuge Respomuso ou refuge de Piedrafita
J4 : du refuge Respomuso au refuge Larribet en passant par le Port du Lévaudan. Cette journée comporte de larges portions hors sentier et non balisées. Cotation : T3 N'entreprendre cette étape que par grand beau ou beau temps. Attention au brouillard qui peut piéger dans cet univers très minéral.
Du refuge emprunté le GR®11 [ce sentier de grande randonnée est "espagnol", il traverse la chaîne des Pyrénées reliant l'océan Atlantique à la mer Méditerranée. Il est aussi appelé : La Senda.] puis le quitter jusqu’à la bifurcation, et poursuivre en direction des lacs d’Arriel tout d’abord sur un large chemin empierré, puis le chemin devient sentier, mais reste plutôt confortable jusqu'au déversoir du dernier lac – Embalse del Arriel Alto -. Sur un gros rocher est écris : Palas, prendre la direction indiquée, en suivant des traces de peinture blanche et les cairns qui prennent un malin plaisir à disparaître puis à réapparaître, les traces de peinture passent du blanc au rouge, il faut rester bien attentif car les marques ne sont pas évidentes et se perdent dans un dédale de blocs. Le Port du Lévaudan forme une petite brèche, montée à vue. La montée se fait de plus en plus raide et se poursuit ainsi dans des cailloux et des éboulis parfois instables pour déboucher au pied de la cheminée de Levaudan, petit passage d’escalade en III. On se trouve alors sur la HRP, balisage : blanc/rouge/blanc. Une fois le port franchi, la sente plonge, et se dirige vers la droite dans un dédale de chaos rocheux, on peut apercevoir par endroit le balisage de la HRP, il a tendance à se perdre. bien suivre les cairns et rester sur le flanc droit (sur la carte IGN, il faut tout simplement suivre le tracé BLEU de ski de randonnée).
Refuge Respomuso / Lacs d’Arriel / Embalse del Arriel Alto
Port du Lévaudan avec vue sur le versant espagnol avec les Lacs Arriels,
et vue sur le versant français avec le lac Batcrabère
Le Balaïtous - 3144 m -
En faire « plus » : il est possible de passer deux nuits au Refuge Respomuso et de faire l’ascension du Balaïtous par la voie normale : la Grande Diagonale (compter 10 h, pour l’A/R). Il est aussi possible de faire l’ascension du Balaïtus et de basculer en France. Pour le Balaïtous le port du casque est conseillé à cause des chutes de pierres. N'ayant pas choisi cette option, je ne puis la décrire. Sur l'excellent site des Topos Pyrénées par Mariano on trouve un topo fort bien documenté : images, et descriptifs point par point de l’ascension du BalaÏtous LES TOPOS PYRENEES DE MARIONO
6 jours de marche à saute frontière entre France et Espagne, dans un décors magnifique et une ambiance « sauvage ». L’accueille dans les refuges furent excellent tout comme les repas !
Pour "dessiner" cette itinéraire, nous nous sommes inspirés de la carte ET du topo HRP de G.Véron. Pour les secteurs présentant des difficultés ou des questionnements, les réponses ont été obtenu auprès des gardiens de refuges. Être en bonne forme, savoir lire une carte et s'orienter, avoir déjà une bonne expérience en montagne.
Période conseillée : Préférez début juillet ou septembre pour éviter la foule estivale dans les refuges. A noter que sur certains tronçons du circuit du matériel tel crampons/piolet sont vivement conseillés sur certains passages. Bien pensez à se renseigner avant de partir auprès des gardiens de refuges.
Difficulté selon l'échelle du CAS : T 2 : Randonnée en montagne : Sentier avec tracé ininterrompu. Terrain parfois raide, risques de chute pas exclus. Exigences : Avoir le pied assez sûr. Chaussures de trekking recommandées. Capacités élémentaires d'orientation. T 3 / Randonnée en montagne exigeante (cf. référence du CAS) Sentier pas forcément visible partout. Les passages exposés peuvent être équipés de cordes ou de chaînes. Éventuellement appui des mains nécessaire pour l'équilibre. Quelques passages exposés avec risques de chute, pierriers, pentes mêlées de rochers sans trace, névés faciles . Exigences : Avoir le pied très sûr. Bonnes chaussures de trekking. Capacités d'orientation dans la moyenne. Expérience élémentaire de la montagne souhaitable.
Tout l'équipement nécessaire à l'itinérance en refuge et éventuellement, selon la saison et les conditions sur le terrain du matériel complémentaire technique de progression et de sécurité.
Cartes : IGN Top 25 1647 OT "Vignemale" & la carte au 1/50 000 Rando Edition, n°24 : Gavarnie - Ordesa. Parc National des Pyrénées ; Parc National d'Ordesa et Mont Perdu. Topo : Haute Randonnée Pyrénéenne, Georges Véron, Rando éditions. Peut être utile pour certaines étapes.
♥ Refuge Wallon-Marcadau : http://www.refuge-wallon.net/
♥ Refuge Baysselance : Paola et Stéphane GAVARD. Refuge Bayssellance
65 120 GAVARNIE Tèl: 05 62 92 40 25 - (00 335 62 92 40 25 depuis l'étranger) 06.75.51.03.47 hors saison uniquement Le refuge Bayssellance est situé au pied du VIGNEMALE (3298m) à 2651m d'altitude. C'est le plus haut et le plus ancien refuge gardé des Pyrénées. 6 dortoirs, 58 places en été 30 places en hiver♥ Refuge Larribet : Tél: 05.62.42.13.67 petit refuge admirablement placé au pied du Balaïtous. Nombre de places: 60 Nombre de places hors gardiennage: 32
Refuge Respomuso : http://www.alberguesyrefugiosdearagon.com Tel: 974337556 Situé dans le cirque de Piedrafita, un des endroits les plus alpins et agrestes de la Vallée de Tena et des Pyrénées aragonaises, à 2.220 m d’altitude.
Un très beau site, on y trouve beaucoup d'informations, de topos et autres sur les Pyrénées : Les Topos Pyrénées Mariano
Le Taillon, par le Cirque de Gavarnie et les Échelles de Sarradets
Entre HRP, GR 10, GR 11 & Chemin de Saint-Jacques…
Randonnée itinérante de 6 jours
Fonds de carte au 1/50 000 Rando Edition, n°24 : Gavarnie - Ordesa. Parc National des Pyrénées ; Parc National d'Ordesa et Mont Perdu (Montage réalisé avec l'aide de : PhotoScape)
1ère et 2ème étape
2ème,3ème et 4ème étape (avec la variante)
4 ème et 5 ème étape
Dernière étape (courte étape...)
« Tour du Mont Clapier - Mercantour (2007)Tour du Mont Viraysse & Tête de Plate Longe - Ubaye - (2014) »
Tags : Taillon, Échelles des Sarradets, Vallée de Gaube, Col des Mulets, Col de la Fache, Petit Vignemale, Doigt de la Fausse Brèche, refuge de Baysselance
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